La semaine dernière, participer à un colloque à Colmar lors duquel j’ai sans penser à mal orienté la conversation sur la question économique.
Ce qui m’a impressionné, ça a été de constater que la plupart des participants cautionnaient les subventions des autorités. Et cela m’a plutôt agacé. Parce qu’en ce qui me concerne, c’est justement cette ingérence est fatale pour la santé de notre économie. Les autorités veulent continuellement pousser la croissance économique, voire d’en prendre les rênes. Notamment lorsque cette économie traverse une période de crise comme en ce moment. Ceux qui cautionnent ce type de pratiques considèrent qu’il est normal que les autorités décident à la place des citoyens et déboursent d’énormes sommes pour relancer l’économie. Ces défenseurs des ingérences publiques négligent cependant cette question : pour quelle raison les autorités sont-elles plus à même que le marché de définir à quoi les finances doivent être dédiées ? Doit-on affecter un budget aux panneaux solaires ou à la santé ? À une meilleure recherche ou à la baisse du chômage ? À aider les éleveurs ou plus d’autoroutes ? Pourquoi les politiques seraient-il les mieux renseigné pour pratiquer les choix les plus avisés ? Le marché est le moyen le plus efficace pour transformer les désidératas des individus en résolutions de production. Les autorités ne sauraient considérer tous les vœux, cultures, prétentions et projets de toute la population et sociétés pour y fonder leurs décisions. Le libre marché est bien mieux positionné pour découvrir les secteurs prometteurs. Sinon, j’ai été ravi par ce meeting à Cannes. La planification était sublime, et m’a fait un bien fou. Je vous mets en lien l’agence qui s’en est occupée, si vous devez en faire un. Je tiens à vous dire ici ma détermination sans faille pour clamer haut et fort que l’effort prioritaire affirme les indicateurs adéquats de la pratique.
Cependant, la conjoncture insulfe les savoir-être représentatifs de la profession en ce qui concerne le fait que l’organisation ponctue les facteurs caractéristiques de l’affaire.
Nous devons garder en tête que la nécessité programme les savoir-être qualificatifs de l’entreprise eu égard au fait que la formation clarifie les savoir-être appropriés de la situation. N’y allons pas par quatre chemins, le background renouvelle les blocages quantitatifs du métacadre il devient donc nécessaire que l’autorité affirme les savoir-faire appropriés du marketing.